Est-ce que les investisseurs en Afrique de l’Ouest changent leurs perspectives?
Le capital mondial et régional continue à circuler en Afrique de l’Ouest, mais les investisseurs commencent à diversifier leurs fonds, montrant un pas loin de parti en faveur du Nigeria et du Ghana.
Suivant la première correction en 20 ans, la dette écrasante de la Banque Centrale et fixer le Naira, la réaction du statut « soudainement pauvre » du pays (d’après les mots du Président Buhari) était celle de combat-fuit. Quelques investisseurs comme Novare, Old Mutual, Johnson & Johnson et Pick ‘n Pay ne sont pas en démordre, et ils augmentent le nombre de leurs sièges. Pourtant, des autres comme Sun International, Tiger Brands et Truworths ont choisi de faire leurs affaires ailleurs.
« Le marché d’investissement immobilier au Nigeria fait face à une combinaison unique de plusieurs choses : une récession (la première de ce genre en 25 ans), la dévaluation rapide de Naira, et un boom dans le développement commercial. Ces facteurs engendrent la sur-fourniture d’immobilier choix, à un moment où la demande des locataires est tombée à un niveau le plus bas en plus d’une décennie. Broll est au premier plan de conseiller, de louer et de commercialiser pour une grande proportion des investisseurs et des promoteurs internationales. Nous travaillons avec nos clientes à proposer les solutions innovantes pour le bail. Nous faisons cela en offrant des concessions locataires, tandis que garantissant la viabilité financière à long terme de la ressource » dit Bolaji Edu, directeur de Broll Nigeria.
« La situation au présente peut paraitre comme insurmontable, mais ce qui se passe au Nigeria n’est qu’une crise de croissance pour une économie en voie de développement, comme on a vu en Amérique du Sud et en Europe de l’Est aussi. Les investisseurs suspendent toujours leurs fonds du Nigeria, attendant que les difficultés finissent. »
Pourtant, on pose la question – d’où sont ces investisseurs délocalisent ?
Au milieu des troubles au Nigeria, le Ghana gagne du terrain lentement. En plus d’essai du FMI pour un autre déboursement de $116.2 million, il y a un changement positif au Ghana grâce aux avances dans l’alimentation en électricité, le taux de change et l’inflation stable. L’état des affaires sont au niveau le plus favorable qu’on a vu depuis des années, avec des perspectives stables sur la croissance. Kevin Teeroovengadum, le directeur d’AttAfrica, donne sa position :
« Ces dernières deux années, de 2014 à 2015, était une période difficile pour le Ghana. Le pays était au fond de ce cycle pendant le premier semestre de 2016. Apres le gouvernement a parvenu une affaire avec le FMI, on voit une amélioration dans la discipline fiscale du gouvernement, la stabilisation de Cedi, les dollars sont plus disponibles et les coupures de courant sont moins fréquentes. Maintenant tous les regards sont tournés vers l’élection présidentielle au décembre 2016. En générale, les sentiments de la publique sont meilleur que l’année dernière, et nous voyons ceci dans la hausse du cible du bail de notre complexe de détail à Kumasi pendant ce dernier trimestre. »
Les pays francophones gagnent aussi l’occasion d’être sous le feu des projecteurs. Il n’y a aucune de doute que ces pays se développent à un taux rapide depuis quelques années, mais dans ces jours, leur stabilité relative devient un attrait important pour les investisseurs dans la région de l’Afrique de l’Ouest. Ils commencent à regarder la région au-delà du Lagos cosmopolite. La Cote d’Ivoire en particulier cherche à s’attirer les bonnes grâces suivant leur nouvelle étiquette comme ‘l’économie croit le plus rapide en Afrique’, et plusieurs réformes dont le résultat est la croissance économique impressionnante.
« Le retour à la stabilité politique, l’investissement soutenu dans l’infrastructure et une monnaie régionale et stable rendent la Cote d’ivoire le coqueluche des investisseurs internationales et des opérateurs dans les pays francophonies en Afrique de l’Ouest. Le Sénégal continue encore à attirer l’investissement, avec des poches de croissance plus petite et ciblée, et un mandat de développement. Les compagnies européennes ou sud-africaines ouvrent la voie, mais on note que les compagnies et les investisseurs du Ghana et du Nigeria sont plus intéressées. La Cote d’Ivoire reste un marché de la frontière, avec des opportunités dans toutes les classes de ressources ainsi que les challenges spécifiques, comme le manque de la transparence et les niveaux bas de compétences locales. Pourtant les nouveaux venus peuvent les surmonter par la connaissance approfondie du marché local » explique Ivan Carnet, l’associé général a Latitude Five.
Cette année, le Sommet sur Investissement en Immobilier en Afrique de l’Ouest (SIIAO, WAPI en anglais) veut préparer les investisseurs et les autres parties prenantes avec l’information nécessaires et les sagacités des orateurs importants et des leaders dans l’industrie, afin d’encourager la bonne voie fructueuse.
Au-delà de la réussite possible de recommencer dans une nouvelle région, les investisseurs ont aussi l’opportunité d’apprendre de leurs expériences du passé. Il a beaucoup de ressources qui expliquent comment naviguer les affaires dans les pays comme le Sénégal et la Cote d’Ivoire, on doit aussi préparer les investisseurs pour le travail difficile de comprendre ces nouvelles régions. La recherche par terre des marches, comprendre les modèles des consommateurs et les soucis sociopolitiques constituent le procès de faire l’application efficace.
Des discussions sur le changement d’attention des investisseurs, le secteur de détail qui évolue rapidement, à naviguer les climats économiques négatifs au Nigeria et au Ghana, les discussions à SIIAO mettent les parties prenantes dans l’œil de la tempête en Afrique de l’Ouest, et les outils nécessaires pour les aider à la survivre.
Les affaires importantes en Afrique de l’Ouest
Malgré les changements dans le secteur immobilier en Afrique de l’Ouest, la région conduit toujours des grandes affaires. Le directeur générale d’API Kfir Rusin explique les investissements les plus grands :
- Old Mutual Investment Group et Nigerian Sovereign Investment Authority ont collecté US$500 million pour une caisse immobilier nigérienne.
- RMB Westport a lancé $250 Million Fund pour le Nigeria, le Ghana et la Cote d’Ivoire
- Actis a collecté plus de $500 million pour une nouvelle caisse immobilier africaine.
- Novare African Property Fund II a annoncé sa clôture finale au bout de juin 2016, ayant collecté $350 million pour l’investissement.
- Eris Property Group a dévoilé les plans pour Agbara Industrial Estate a Lagos, au Nigéria.
- Le complexe le plus mixte, le projet ‘The Exchange’ à la ville d’aéroport sera lancé par Mabani Holdings Ltd, en collaboration avec Actis LLP
- Le centre commercial Lekki (22 000m2), qui a couté Novare $82.8 million a commencé ses échanges au fin d’aout 2016.
- Le centre commercial Circle de RMB Westport et qui consiste de 10 800 mètres, a commencé au fin de 2015.
- Churchgate a lancé le Centre de World Trade (20 000m2) à Abuja.
- CFAO et Carrefour ont ouvert le centre commercial Playce Marcory en Côte d’Ivoire au décembre 2015.
- Carlson Rezidor a ajouté le Ghana à son portefeuille croissant avec l’introduction de l’hôtel Radisson Blu Accra Airport, The Exchange avec 207 chambres.
- Hilton Worldwide a annoncé ses plans pour ouvrir un hôtel de 350 chambres et suites à l’aéroport internationale Lagos Murtala Muhammed au Nigéria.
L’INFORMATION ET LE CONTEXTE DE SOMMET
Le Sommet sur Investissement en Immobilier en Afrique de l’Ouest (SIIAO) aura lieu de 16 à 17 novembre. Cette conférence servira comme une analyse profonde dans les problèmes qui touchent le marché d’immobilier en Afrique de l’Ouest, et le point de départ pour discuter et résoudre. Le sommet s’attaque aux discussions sur le développement, les fonds propres privés, le financement et les économiques, avec des sagacités grâce aux experts les plus connus dans l’investissement immobilier aujourd’hui.