Ce redressement du déficit est expliqué par la hausse des ressources budgétaires de 10,8%, à 18 milliards de dinars, grâce à l’accroissement des recettes fiscales de 15%, à près de 17 milliards de dinars, contre une stagnation de charges budgétaires, au niveau de 20,7 milliards de dinars.
Le déficit budgétaire s’est situé au niveau de 2,6 milliards de dinars, durant les 7 premiers mois de l’année 2021, soit en baisse de 41,8%, par rapport à la même période de 2020.
Ce redressement du déficit est expliqué par la hausse des ressources budgétaires de 10,8%, à 18 milliards de dinars, grâce à l’accroissement des recettes fiscales de 15%, à près de 17 milliards de dinars, contre une stagnation des charges budgétaires, au niveau de 20,7 milliards de dinars.
Bien que le total des dépenses de l’Etat n’a pas évolué, il y a un accroissement des dépenses de rémunération de 5,3%, à 11,7 milliards de dinars, et au niveau des dépenses d’intervention de 8,8%, à 3,9 milliards de dinars, ainsi qu’en termes de dépenses de gestion de 8,9% à 0,7 milliard de dinars. En revanche, les dépenses d’investissement ont régressé de 36%, à 1,8 milliard de dinars. Pour ce qui est des ressources de trésorerie, elles se sont élevées, à fin juillet 2021, à 9,7 milliards de dinars, dont les ressources d’emprunt qui sont de l’ordre de 8,7 milliards de dinars. Ces ressources ont été allouées, essentiellement, au remboursement du principal de la dette (6 milliards de dinars), et au financement du déficit (2,5 milliards de dinars).